High-tech

Posted on

Première édition du Privacy Research Day

Cette conférence internationale sera le premier événement interdisciplinaire dédié à la protection de la vie privée et des données. L’objectif est de créer un échange inédit entre des experts juridiques, des informaticiens, des designers ou encore des chercheurs en sciences sociales, ou tous autres chercheurs et experts de domaines liés à la protection des données. Ces différents experts dans leur domaine pourront présenter leurs travaux et discuter des conséquences sur la réglementation. Quant aux participants, ils pourront découvrir des recherches innovantes : de nouvelles vulnérabilités, de nouveaux outils, de nouvelles solutions…

Les données en tant que ressource économique

Le programme se déroulera sous forme de conférences thématiques. Ainsi, par exemple, il sera question de l’économie de la vie privée, notamment des recherches sur la façon dont les organisations et les personnes gèrent et perçoivent les données en tant que ressource économique, et comment savoir si le cadre juridique permettant leur collecte et leur utilisation est à la fois mis en œuvre et accepté. Ou encore sur les smartphones et les applications, comme principal point d’accès aux services et contenus numériques et qui constituent dès lors une source importante de données sur les utilisateurs… L’événement a lieu à Paris mais sera diffusé gratuitement en ligne, en anglais et en français.

Pour en savoir plus : www.cnil.fr

Partager cet article

Posted on

Bientôt une aide pour les mots de passe piratés avec Google Assistant

Il y a un an tout juste, en juin 2021, avait eu lieu la plus gigantesque fuite de mots de passe détectée sur internet, intitulée « RockYou2021 » dévoilée sur un forum de hackers, avec quelque 8,4 milliards d’identifiants et mots de passe piratés. Dans la mesure où la plupart des personnes réutilisent leurs mots de passe sur plusieurs applications et sites web, le nombre de comptes potentiellement affectés par une cyberattaque de ce type peut se chiffrer en millions, voire milliards. Pour aider les utilisateurs de Chrome, sous Android, à gérer ce type de situation, Google déploie une nouvelle fonctionnalité permettant à Google Assistant d’automatiser en grande partie le remplacement d’un mot de passe lorsque ce dernier est compromis.

Un changement automatique

Cette nouvelle fonction sera disponible lors d’une prochaine mise à jour de l’application. Google se mettra alors en alerte pour repérer lorsqu’un des mots de passe stockés a pu être compromis. Une fois averti par une fenêtre pop-up, l’utilisateur pourra soit ignorer, soit proposer un nouveau mot de passe, et Google Assistant se chargera ensuite de le modifier automatiquement sur le site concerné. À noter toutefois, cette fonctionnalité ne sera pas effective avec tous les sites internet, certains requérant une intervention manuelle pour remplacer un mot de passe.

Partager cet article

Posted on

Donner de la visibilité à son entreprise grâce à Google My Business

Depuis plusieurs années, le géant américain du numérique regroupe, sous l’appellation « Google My Business », les différentes solutions qu’il tient à la disposition des entreprises pour les aider à être plus facilement localisables sur son moteur de recherche et sur ses sites associés. Présentation de ce service simple et gratuit.

Des recherches nominatives…

Lorsque les termes utilisés pour rechercher une entreprise sont suffisamment précis (boucherie Dupont à Paris, cabinet d’expertise comptable Durand à Brive) et que cette dernière est inscrite sur Google My Business, un cadre s’affiche sur la droite de la page de résultats. Cadre au sein duquel apparaissent le nom de l’entreprise, son métier, un court descriptif des biens qu’elle vend ou des services qu’elle propose, son adresse et ses coordonnées téléphoniques. En outre, afin de permettre aux clients de se rendre plus facilement dans les locaux de l’entreprise un aperçu de sa localisation sur Google Maps est proposé, ainsi que, le cas échéant, ses horaires d’ouverture. Des photos de présentation, l’adresse du site Internet de l’entreprise lorsqu’il en existe un (il n’est pas nécessaire de disposer d’un site web pour créer une fiche Google My Business) ou encore les avis et commentaires laissés par les clients peuvent également prendre place dans ce cadre.

… et des recherches par secteur

Dans l’hypothèse où l’identification n’est qu’indirecte (en effectuant une recherche par secteur du type : « restaurants La Rochelle », par exemple), s’affiche alors, en haut de classement de la page de résultats, une liste des restaurants rochelais (nom, adresse, photo…) précédée d’un aperçu de leur localisation sur Google Maps. Il suffit alors de cliquer sur n’importe lequel d’entre eux pour qu’apparaisse leur fiche Google My Business.

Quelques services complémentaires

Outre les informations déjà citées, dans ces cadres de présentation figure un bouton permettant de calculer et d’afficher un itinéraire pour se rendre dans les locaux de l’entreprise. Lorsque l’on utilise un smartphone, un autre bouton présent à ses côtés permet de composer directement son numéro de téléphone. Il faut savoir, en outre, que ces fiches de présentation sont également accessibles via Google Maps.

Comment s’inscrire ?

Pour s’inscrire, il suffit de se connecter sur le site dédié (www.google.com/intl/fr_fr/business/) et de cliquer sur « Gérer ». À l’issue des premières démarches de recherches destinées à identifier et à localiser l’entreprise, il faut préciser si elle accueille des clients dans ses locaux ou si elle propose ses services autrement. Enfin, il faut entrer son nom, ses coordonnées et son métier. S’ensuit une phase de validation permettant à Google de vérifier la réalité des informations saisies.

Concrètement, une fois la demande de création de fiche terminée, et avant qu’elle ne soit mise en ligne, les services de Google vont vérifier que la personne qui effectue les démarches est en droit de le faire. L’objectif étant d’éviter que des tiers viennent créer ou animer la fiche Google My Business d’une entreprise qui ne leur appartient pas ou qu’ils ne gèrent pas. Après avoir instruit le dossier, Google adresse au demandeur un code qui permet l’activation du compte. Une fois le compte activé, il ne reste plus qu’à l’alimenter en actualités et autres photos.

Précision : il est important de ne pas oublier d’actualiser les horaires d’ouverture, de modifier régulièrement les photos et de répondre aux commentaires des clients. Ces différentes actions qui font vivre la fiche sont prises en compte par Google dans ses critères de référencement naturel.

Valider une entreprise déjà présente sur Google My Business

Google utilise les données des différents annuaires pour créer des fiches Google My Business. Il est donc tout à fait possible de trouver, lors d’une requête lancée sur ce moteur, une fiche existante au nom de sa propre entreprise. Dans cette hypothèse, la mention « Vous êtes le propriétaire de cet établissement ? » apparaît sur la fiche. Si vous cliquez sur cette dernière pour prendre en main sa gestion, les mêmes démarches de vérifications que celles intervenant lors d’une création de fiche seront alors lancées par les services de Google avant de vous attribuer les droits de gestion du compte.

Précision : dans l’hypothèse où un tiers serait parvenu à créer ou à revendiquer avec succès une fiche présentant une entreprise sur laquelle il ne dispose d’aucun droit, Google propose un ensemble de démarches permettant à l’ayant droit spolié de reprendre le contrôle de sa fiche.

Un outil statistique

Google My Business offre également un outil de statistiques permettant de comptabiliser et d’analyser les visites des internautes faites à la fiche de présentation. Outre le nombre total de visites effectuées dans un temps donné, cet outil permet de mesurer le type d’informations consultées (informations du profil, photos, posts publiés), les interactions que ces contenus ont produit (commentaires, actions de partage des contenus…), mais aussi le nombre de clics de demandes d’itinéraire, les mots-clés utilisés par les internautes ou encore le nombre de clics d’accès au site de l’entreprise lorsqu’il en existe un.

Partager cet article

Posted on

Rapport de la CNIL : hausse des contrôles et amendes record

La CNIL exerce plusieurs missions. Elle doit notamment veiller à protéger les données personnelles et à préserver les libertés individuelles. Pour répondre à ces objectifs, elle a dû effectuer plus de contrôles l’an dernier que les années précédentes. En 2021, la CNIL a reçu pas moins de 14 143 plaintes, soit 4 % de plus qu’en 2020. Des plaintes qui ont donné lieu à 384 contrôles dont 118 menés dans les locaux des structures concernées. Ces contrôles ont conduit la CNIL à prononcer 135 mises en demeure, 45 rappels à l’ordre et 18 sanctions, pour un montant cumulé d’amendes record de plus de 214 M€ !

Surveillance accrue de la cybersécurité

La sécurité des données de santé a constitué un des points de vigilance majeur de l’année 2021. Cette problématique a ainsi conduit à diligenter des contrôles de laboratoires d’analyses médicales, d’hôpitaux, de prestataires et de data brokers en données de santé, notamment sur les traitements en lien avec le Covid-19. Certaines de ces procédures sont toujours en cours d’instruction. Enfin, la CNIL a particulièrement surveillé la cybersécurité du web français, contrôlant 22 organismes dont 15 publics, où elle a constaté des éléments obsolètes rendant des sites vulnérables aux attaques, des insuffisances concernant les mots de passe et, plus généralement, un manque de moyens mis en place au regard des enjeux de sécurité actuels.

Pour consulter le rapport : www.cnil.fr

Partager cet article

Posted on

Plus de 33 500 sites 5G et 60 000 sites 4G autorisés par l’ANFR en France

Concernant le déploiement de la 5G, l’ANFR a désormais donné des autorisations pour 33 557 sites en France dont 45 sont situés en Outre-Mer. 40 sites viennent notamment d’être autorisés en avril dernier à La Réunion. 24 553 sites sont déjà techniquement opérationnels, selon les opérateurs de téléphonie mobile, la quasi-totalité de ces implantations étant accordée pour des sites déjà utilisés pour la 2G, 3G ou 4G. Seuls 4 sites n’accueillent que de la 5G.

Un site répertorie les sites autorisés

Le déploiement de la 4G concerne, lui, 60 078 sites autorisés par l’ANFR en France, dont 57 023 sont en métropole. 52 270 sont déjà en service. C’est Orange qui détient le plus grand nombre d’implantations (27 883 sites), devant SFR (23 176 sites), puis Bouygues Telecom (23 031) et enfin Free Mobile (21 863 sites).

Outre-Mer, 3 055 sites sont autorisés pour la 4G, dont 2 899 sont déjà en service.

L’ANFR propose un site internet cartographique, www.cartoradio.fr, qui répertorie avec précision, sur tous les territoires, le déploiement des réseaux mobiles. Il est ainsi possible de zoomer sur une zone pour y voir où sont les sites autorisés par l’ANFR, et pour quel opérateur.

Partager cet article

Posted on

Choisir un bon mot de passe pour ses comptes internet

Difficile aujourd’hui d’échapper à la création de comptes sur internet, qu’il s’agisse de payer ses impôts, de passer des commandes, de consulter ses opérations bancaires ou les réseaux sociaux. Ces comptes sur internet détiennent des informations personnelles qu’il convient de protéger efficacement contre la cybermalveillance. Ils nécessitent notamment de définir des codes d’accès solides et complexes à deviner. Pour la journée mondiale du mot de passe, le site www.cybermalveillance.gouv.fr donne les clés pour choisir un mot de passe efficace.

Utiliser un gestionnaire de mots de passe

Selon Cybermalveillance.gouv.fr, le problème réside souvent dans le fait qu’il faille créer un grand nombre de mots de passe ce qui incite à choisir la solution de facilité : créer un mot de passe générique (genre “123456”), utiliser le même mot de passe pour tous les comptes ou prendre un mot de passe relié à une information personnelle (date de naissance, prénom d’un enfant, etc.). Ces choix sont trop faciles à deviner. Cybermalveillance.gouv.fr explique comment choisir un mot de passe robuste et conseille d’en changer pour chaque site. Il propose également d’en changer au moindre doute ou encore de recourir à un gestionnaire de mot de passe pour plus de facilité.

Pour en savoir plus : https://www.cybermalveillance.gouv.fr/

Partager cet article

Posted on

« Connecte ta boîte » en tuto

France Num est un dispositif gouvernemental d’accompagnement des TPE et PME dans leur transformation numérique, animé par la Direction générale des Entreprises du ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance. Parmi les actions mises en place, il diffuse, depuis 2018, une série d’émissions de TV diffusées sur BFM TV, BFM Paris, RMC Découverte et RMC Story, racontant l’accompagnement de TPE (commerçants, artisans et indépendants) par des experts pour passer au numérique. La série revient pour une nouvelle saison, cette fois-ci au travers de tutoriels diffusés sur internet.

43 % des cyberattaques visent les TPE

Le principe de base est sensiblement le même : des experts de l’émission prodiguent leurs conseils pour passer au numérique sereinement. Dans le premier épisode, Sanaa Moussaïd, expert-comptable spécialiste de la transformation numérique, donne des clés pour protéger son entreprise sur internet. Car 2 entreprises sur 3 ont déjà subi au moins une tentative de fraude et 43 % des cyberattaques viseraient principalement les petites entreprises. Différentes ressources sont également proposées pour aller plus loin (FAQ, guide pratique, formations en ligne…). Les autres sujets de tuto abordent des situations variées comme : Comment améliorer sa relation client sur internet ; Qu’est-ce que la signature électronique ou encore Comment faire une vidéo de recrutement ?

Pour visionner les tutos : https://www.francenum.gouv.fr/comprendre-le-numerique/connecte-ta-boite-les-tutos

Partager cet article

Posted on

Se former à la sécurité numérique

Compte tenu de l’impact grandissant des cyberattaques, chaque personne doit pouvoir devenir acteur de sa propre sécurité numérique, qu’il s’agisse d’étudiants, de salariés, de dirigeants d’entreprises, d’élus… Pour l’ANSSI, il est donc indispensable de former le plus grand nombre de citoyens aux enjeux de la cybersécurité. Pour répondre à cet objectif, elle a créé le MOOC SecNumacadémie qui s’adapte aux besoins des différents publics non experts, en proposant des contenus pédagogiques ludiques et accessibles à tout moment, gratuitement.

Une attestation de réussite

Ce MOOC permet de s’initier à la cybersécurité ou d’approfondir ses connaissances, pour pouvoir protéger efficacement ses outils numériques. Il est composé de 4 modules : Panorama de la SSI, Sécurité de l’authentification, Sécurité sur Internet et Sécurité du poste de travail et nomadisme. Le suivi intégral du dispositif de formation permet d’obtenir une attestation de réussite. Une série de tests d’auto-évaluation est en effet proposée à la fin de chaque unité pour juger du niveau de compréhension du sujet. Un score de 80 % à l’évaluation permet de valider l’unité en vue de l’obtention de l’attestation de réussite finale.

Pour en savoir plus : secnumacademie.gouv.fr

Partager cet article

Posted on

Retour sur la sauvegarde des données de l’entreprise

Une attaque informatique, un incendie, un vol ou une destruction de matériel peuvent rendre inaccessibles ou corrompre des données essentielles au fonctionnement de l’entreprise. Mettre en place un système de sauvegarde opérationnel est la seule parade efficace. Rappel des principales règles à suivre.

Identifier les données critiques

Sauvegarder toutes les données de l’entreprise n’est pas utile. Seules celles qui sont importantes pour son fonctionnement (données clients, données techniques, savoir-faire de fabrication, fiches métiers…) ou qui doivent être conservées en vertu de contraintes légales (contrats de travail, factures…) doivent être sauvegardées.

En outre, avec la multiplication des outils (PC portables, tablettes, smartphones, clés USB, objets connectés…), les données de l’entreprise sont de plus en plus éparpillées. Il convient donc de bien recenser tous ces outils et d’identifier les données qu’ils abritent afin de déterminer si elles doivent, ou non, faire l’objet d’une sauvegarde.

Réaliser des sauvegardes régulières

Les opérations de sauvegarde doivent être réalisées régulièrement afin que la copie soit le plus à jour possible au cas où elle devrait être restaurée en raison d’une perte, d’une destruction ou d’une corruption des données.

La fréquence de sauvegarde va dépendre de la taille de l’entreprise et surtout du volume de données produit chaque jour. Ce dernier variant principalement en fonction de l’activité de l’entreprise. Les TPE et PME de services, dont l’information constitue à la fois leur matière première et leur produit fini, devront adopter un rythme de sauvegarde soutenu (au pire hebdomadaire, idéalement journalier).

Un petit artisan dans le bâtiment ou un restaurateur pourra se contenter d’une opération de sauvegarde mensuelle. Opération au cours de laquelle il sauvegardera, a minima, sa base de devis, sa base de clients, ses échanges avec ses partenaires privés et publics et ses émissions de factures.

Un rythme de sauvegarde moins soutenu pourra être adopté pour des données qui évoluent peu comme, par exemple, les données techniques ou les fiches fournisseurs.

Conseil : il convient de rappeler l’importance de disposer de plusieurs copies de la base de données originale. Ainsi, si un fichier corrompu est sauvegardé sans avoir été détecté, il sera possible d’utiliser une copie de sauvegarde plus ancienne pour en retrouver une version saine. Par exemple, en réalisant une copie par jour (lundi, mardi, mercredi, jeudi) et une de plus par semaine (semaine 1, semaine 2…), l’on pourra revenir un mois en arrière avec moins de 10 copies différentes et ainsi accroître ses chances de disposer d’une base de données au sein de laquelle il sera possible de retrouver une version « saine » de tous les fichiers.

Tester les sauvegardes

Même si la quantité de données à sauvegarder est faible, le risque qu’un problème se produise lors de leur copie existe. Il est donc fortement conseillé de procéder régulièrement (une fois tous les 6 mois) à la restauration d’un ensemble de fichiers sauvegardés. Cet exercice présente aussi l’intérêt de s’assurer du bon état des supports de sauvegarde (la durée de vie de ces supports excède rarement 5 ans) et de la bonne maîtrise de la procédure de restauration.

Protéger les sauvegardes

Enfin, parmi les autres règles de prudence à respecter, il est recommandé de ne pas laisser les supports de sauvegarde connectés en permanence au réseau de l’entreprise (pour les préserver des attaques par rançongiciels), et de penser à les stocker dans un lieu sécurisé pour les protéger des vols et des incendies.

Attention à la confidentialité des données : les fichiers sauvegardés, dès lors qu’ils abritent des données à caractère nominatif, doivent être administrés dans le respect du Règlement général sur la protection des données (RGPD). Leur confidentialité et leur protection doivent ainsi être assurées au même titre que les données originales dont ils sont tirés.

Sur quels supports ?

Les sauvegardes doivent permettre un accès simple et rapide aux données. On privilégiera des supports sur lesquels les informations ne sont pas compressées et donc directement lisibles. Il est possible de réaliser des sauvegardes sur des disques durs externes, des clés USB, ou encore en ayant recours à des prestataires extérieurs offrant des espaces de stockage de données en ligne (cloud).

Partager cet article

Posted on

Lancement de France transfert, un service d’envoi de fichiers, simple et sécurisé

Il n’est pas rare que dans leurs relations avec l’administration, les entreprises, mais aussi les particuliers, aient à transmettre, pour leurs démarches, des pièces lourdes, qu’il s’agisse d’images ou de dossiers, qui ne passent pas par courriel. Or, avec la dématérialisation, cette transmission en ligne est devenue indispensable. L’État vient donc de développer un outil numérique de transfert de fichiers, solide et fiable, dédié aux échanges inter-administrations et entre les administrations et les entreprises et/ou les particuliers. France Transfert permet, en effet, l’envoi en ligne de fichiers volumineux jusqu’à 20 Go, 2 Go max par fichier, en toute sécurité.

15 000 téléchargements en 2 mois

La seule condition pour utiliser cet outil est que l’une des parties à l’échange, l’expéditeur ou le(s) destinataire(s) soit un agent de l’État. Une vérification est effectuée via l’adresse courriel professionnelle. Il est possible avec France transfert de faire des envois jusqu’à 100 destinataires, d’importer une liste de contacts, et de personnaliser le transfert (mot de passe, objet et message, modalité d’envoi par courriel ou par lien, durée de conservation, etc.). Le service déployé auprès de l’ensemble des agents de l’État et de tous les ministères a déjà enregistré pas moins de 10 500 envois et 15 000 téléchargements ces 2 derniers mois.

Pour en savoir plus : https://francetransfert.numerique.gouv.fr/upload

Partager cet article
Your browser is out-of-date!

Update your browser to view this website correctly.Update my browser now

×

Your browser is out-of-date!

Update your browser to view this website correctly.Update my browser now

×