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Vélos et trottinettes électriques : le point sur le Code de la route

Les trottinettes et les vélos sur les pistes cyclables

Les vélos ainsi que les trottinettes électriques ont l’interdiction, sauf s’ils sont poussés à la main, de circuler sur les trottoirs.

Les trottinettes, mais aussi les gyropodes et autres hoverboards électriques, par la force d’un décret, ont récemment fait leur entrée dans le Code de la route sous l’appellation « d’engins de déplacement personnel motorisés » (EDPM). Leurs conditions d’utilisation sont donc désormais règlementées.

Concrètement, les trottinettes et consorts sont invités à quitter les trottoirs et à circuler sur les pistes cyclables ou sur les axes routiers dont la vitesse est limitée à 50 km/h ou moins. Hors agglomération, leur circulation est interdite (sauf autorisation spécifique et sur les voies vertes et les pistes cyclables). Seules sont tolérées sur les trottoirs les trottinettes propulsées « à la main », autrement dit sans assistance électrique. En outre, l’âge minimal pour utiliser un EDPM est désormais fixé à 12 ans et il est interdit de transporter un passager ou des marchandises, de gêner les piétons en stationnant sa trottinette et de la conduire sous l’influence de l’alcool ou après usage de stupéfiants.

Important : les EDPM étant considérés comme des véhicules terrestres à moteur, il est obligatoire de les assurer.

Attention : les EDPM doivent être bridés par leurs constructeurs pour qu’ils ne puissent pas dépasser la vitesse de 25 km/h. L’utilisation d’une trottinette offrant la possibilité de dépasser cette vitesse (moteur débridé ou non homologué) est passible d’une amende de 1 500 €.

Quid des VAE ?

Comme son nom l’indique, le vélo à assistance électrique (VAE) est un vélo. Autrement dit, il est nécessaire de pédaler pour le faire avancer. En revanche, contrairement à une bicyclette traditionnelle, il dispose d’un moteur d’appoint qui permet de ne jamais forcer. La puissance dudit moteur étant, en France, plafonnée à 250 watts. En fonction des modèles, le poids de ces vélos oscille entre 15 et 30 kg. Quant à la vitesse maximale au-delà de laquelle se coupe l’assistance, elle est de 25 km/h.

En principe, les VAE appartiennent à la catégorie « juridique » des cycles et non des vélomoteurs. Mais attention, cette notion de cycle est très précise et ne s’applique qu’aux VAE dont la puissance ne dépasse pas 250 watts et dont le moteur se coupe dès qu’ils dépassent 25 km/h. S’il excède ces performances, le VAE reste utilisable mais devient juridiquement un cyclomoteur ce qui implique le respect de nouvelles règles d’utilisation : immatriculation du véhicule, détention d’un permis, d’une assurance spécifique…

À savoir : comme pour les autres véhicules, le port d’écouteurs et autres oreillettes à vélos ou à trottinette (électrique ou non) est prohibé. Les contrevenants s’exposent à une amende de 135 €.

Le port du casque conseillé

Un certain nombre de dispositifs de sécurité doivent équiper ces véhicules ou leurs utilisateurs.

Le port du casque et d’un gilet haute visibilité ou d’un équipement rétro-réfléchissant est obligatoire hors agglomération (lorsque la circulation des EDPM est autorisée). En agglomération, le port du casque n’est que conseillé, mais celui d’un gilet haute visibilité ou d’un équipement rétro-réfléchissant est obligatoire la nuit et en cas de faible visibilité (par temps de brouillard, par exemple).

Enfin, des dispositifs d’éclairage à l’avant et à l’arrière, des freins et un avertisseur sonore doivent équiper les trottinettes électriques.

Pour les VAE, le port du casque n’est pas obligatoire, mais seulement conseillé. En revanche, pour être autorisé à circuler, un vélo (électrique ou non) doit être muni de dispositifs d’éclairage à l’avant et à l’arrière et de catadioptres (à l’avant, à l’arrière et sur les côtés), de deux systèmes de freinage (un par roue) et d’un avertisseur sonore.

Une aide pour les employeurs

Pour inciter leurs salariés à se déplacer à vélo, les entreprises peuvent leur attribuer des aides exonérées de cotisations sociales.

Instauré en 2020, le forfait mobilités durables permet aux employeurs de prendre en charge les frais de transport des salariés qui effectuent les trajets entre leur domicile et leur lieu de travail en utilisant des modes de transport dits à « mobilité douce » (vélo, covoiturage, trottinette, etc.).

Ce dispositif, non obligatoire, est instauré par un accord d’entreprise ou interentreprises. Il peut aussi être prévu dans un accord de branche. En l’absence d’accord, l’employeur peut le mettre en place par décision unilatérale, après avoir consulté le cas échéant, le comité social et économique.

C’est l’accord collectif ou la décision unilatérale qui détermine la forme et le montant de l’indemnisation accordée aux salariés.

En 2022 et 2023, le forfait mobilités durables est exonéré d’impôt sur le revenu, de cotisations sociales et de CSG-CRDS dans la limite de 700 € par an et par salarié. Une limite portée à 900 € en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion et à Mayotte.

Par ailleurs, la limite d’exonération du forfait mobilités durables est, en 2022 et 2023, de 700 € lorsque l’employeur verse également la prime de transport (dont 400 € maximum pour les frais de carburant). Une limite portée à 900 € en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion et à Mayotte (dont 600 € maximum pour les frais de carburant).

Enfin, depuis 2022, cette limite d’exonération s’élève à 800 € lorsque le forfait mobilités durables se cumule avec la participation obligatoire de l’employeur aux frais d’abonnement aux transports publics et aux services publics de location de vélos. La limite correspond au montant de la participation obligatoire aux abonnements de transports publics si celui-ci est supérieur à 800 €.

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Cybersécurité : une meilleure prise de conscience chez les PME

Virus, malwares, ransomwares, attaques sur la supply chain, problèmes de sécurité 5G… le nombre de cyberattaques augmente, et cela devrait continuer voire s’accélérer dans les prochains mois. Toutefois, l’étude d’Insight Avenue pour ESET, réalisée auprès de responsables de la cybersécurité de PME issues de 14 pays différents, montre que les entreprises sont de plus en plus nombreuses à se mettre en alerte sur ce sujet, quel que soit leur secteur d’activité et leur pays, notamment les PME françaises qui font figure de bons élèves. 83 % des sondées jugent ainsi la menace très réelle. Pour elles, les deux principales craintes sont : la perte de données (69 %, 66 % en France) et les impacts financiers (68 %, 78 % en France).

Durcir les outils d’accès à distance

Pour pointer les carences en matière de sécurité et déterminer les axes d’amélioration et de développement, 63 % des sondés indiquent avoir réalisé un audit de sécurité, avec en tête les entreprises allemandes et tchèques (70 %), et françaises (60 %). Pour se protéger, les PME choisissent de durcir les outils d’accès à distance. C’est le cas chez 51 % des entreprises françaises qui demandent à leurs collaborateurs d’utiliser un VPN d’entreprise et 48 % qui se dotent d’une authentification multifacteur. 52 % des professionnels français estiment tout de même qu’il existe une limitation budgétaire et/ou un manque d’investissement dans la cybersécurité de leur entreprise.

Pour en savoir plus : www.eset.com/fr

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Un partenariat pour accompagner la digitalisation des PME

Cybersécurité, facturation électronique, télétravail… les entreprises sont de plus en plus confrontées aux questions et aux enjeux de la transition numérique, mais certaines peinent à effectuer leur transformation. C’est parce que Microsoft France et le Réseau Entreprendre partagent le même souci d’accompagner les entreprises et notamment les créateurs-repreneurs dans leur réussite, qu’ils ont souhaité monter un partenariat afin d’apporter des solutions aux PME pour leur digitalisation.

Un dispositif en ligne de sensibilisation

Dans la lignée des actions déjà menées chaque jour par le Réseau Entreprendre à destination de ses membres et lauréats, les deux partenaires veulent mettre en place un dispositif en ligne de sensibilisation concernant l’impact du numérique sur les activités des PME. Microsoft France apportera son expertise sur la transformation digitale à travers des thèmes comme la cybersécurité, l’adoption des outils ou encore le travail collaboratif. Des témoignages d’entrepreneurs viendront compléter le dispositif.

Pour en savoir plus : www.reseau-entreprendre.org

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Rançongiciel : comment s’en prémunir ?

Durée : 02 mn 24 s

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Le piratage informatique, un fléau pour les entreprises

Les piratages informatiques se multiplient notamment dans les entreprises, mais peu savent à quoi correspondent exactement ces attaques, souvent par manque de connaissances techniques. Pour pallier ce manque d’informations, le site www.cybermalveillance.gouv.fr a réalisé un exercice de pédagogie en proposant un ensemble de définitions. La première porte sur le piratage informatique qui, pour l’organisme gouvernemental, consiste à s’introduire dans une ressource à l’insu de son propriétaire légitime. Un piratage qui peut frapper un équipement informatique ou un compte en ligne.

Les cibles préférées des pirates

Pour chaque type d’attaques, le site détaille les équipements ou les comptes visés, les moyens d’intrusion les plus souvent utilisés, les risques encourus et les cibles préférées des pirates… Il renvoie également vers son rapport d’activité et état de la menace 2021, où le piratage de compte en ligne apparaît aujourd’hui comme la seconde cybermenace la plus rencontrée tant par les professionnels que les particuliers…

Pour consulter la fiche sur le piratage informatique : www.cybermalveillance.gouv.fr

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Un rapport gouvernemental sur les metavers

Le ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, celle de la Culture et le Secrétaire d’État chargé de la Transition numérique ont missionné des experts sur le sujet du développement des métavers. Pour le gouvernement, les métavers représentent, en effet, une opportunité majeure pour les entreprises françaises. Mais il était nécessaire de leur donner des clés de compréhension pour saisir les opportunités et mieux appréhender les risques posés par ces technologies émergentes.

10 leviers d’action proposés

80 personnalités ont ainsi été consultées : des entrepreneurs de la réalité virtuelle et de la blockchain, des acteurs culturels, des artistes, des professionnels du jeu vidéo, des chercheurs en sciences sociales, en intelligence artificielle et en informatique… pour constituer un rapport complet. Il en résulte une série de propositions de leviers d’actions pour développer l’infrastructure technologique, soutenir l’innovation, miser sur les usages, orchestrer la régulation et prendre en compte les enjeux sociétaux et environnementaux.

Pour consulter le rapport : www.economie.gouv.fr

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Google Chrome se met aussi aux économies d’énergie

Utilisé par près de 65 % des internautes dans le monde et 54 % des Français, Google Chrome est reconnu comme étant un navigateur rapide, avec une interface simple et des fonctionnalités très pratiques, mais aussi un gros consommateur de mémoire et donc d’énergie. Alors que la sobriété énergétique devient la nouvelle norme, Google a travaillé pour corriger ce défaut et devrait bientôt proposer une nouvelle rubrique Performance dans les réglages de son navigateur. Dans cet espace, il sera possible de consulter pour chaque onglet ouvert combien de mémoire vive est économisée et allouée à d’autres tâches, permettant ainsi à l’internaute de fermer éventuellement les onglets trop énergivores.

Un mode « Battery Saver »

Une icône Battery Saver devrait également être insérée à côté de la barre d’adresse pour activer ce mode lorsque l’ordinateur fonctionne sur la batterie et que cette dernière atteint un niveau prédéfini. Il permettrait d’économiser l’énergie, par exemple en limitant les tâches d’arrière-plan, ou encore les effets visuels en abaissant le nombre d’images affichées par seconde. D’autres options sont encore à l’étude, comme une liste d’exception ou la définition du seuil d’inactivité de chaque onglet…

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Entreprises : protégez vos données sensibles lors de vos déplacements à l’étranger

Les salariés qui voyagent à l’étranger peuvent transporter avec eux des données sensibles que ce soient via leurs ordinateurs, leurs tablettes, leurs smartphones, ou même un disque dur voire une simple clés USB. Ce qui peut parfois mettre en péril la cybersécurité de leur entreprise. Pour éviter de se faire pirater, Bercy propose des conseils à mettre en application avant, pendant et après le voyage professionnel.

Trier ses données

Ainsi en amont par exemple, il est indispensable pour le salarié qui part en mission de trier ses données pour éviter de transporter des informations superflues et sensibles. D’autant que souvent la récupération de fichiers chiffrés sur le lieu de la mission est possible. L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) préconise même de ne rien stocker sur ces appareils en cas de perte ou de saisie du matériel lors du déplacement. Pour les mêmes raisons, si des données importantes restent présentes sur la machine, il est fortement conseiller de les sauvegarder avant d’entamer son voyage.

Traquer les virus au retour

Une fois sur place, mieux vaut ne pas utiliser des appareils qui ont été offerts car rien ne garantit qu’ils ne sont pas porteurs de logiciels malveillants. De même, il convient d’éviter de recharger son équipement sur une borne électrique en libre-service. « Ce type de borne peut copier vos données », avertit les rédacteurs de la note. Et au retour du salarié, un test anti-virus et anti logiciel-espion sera nécessaire avant de connecter la machine au réseau de l’entreprise. Bercy invite également le salarié à modifier son mot de passe au cas où il aurait été intercepté par des pirates lors du voyage.

Pour consulter la fiche : www.economie.gouv.fr

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Comment réagir au piratage des comptes de réseaux sociaux ?

Facebook, Instagram, LinkedIn, Snapchat, TikTok, Twitter, WhatsApp… Ces réseaux sociaux, qu’ils soient utilisés dans un cadre personnel ou professionnel, sont régulièrement la cible de pirates informatiques (hackers) qui y accèdent à l’insu des propriétaires du compte. Avec des conséquences qui peuvent être lourdes, allant de l’escroquerie à l’usurpation d’identité, en passant par le chantage, le vol d’informations, le cyberharcèlement, ou encore la désinformation… Pour aider les utilisateurs des réseaux sociaux à anticiper ces dommages, le site sur la cybermalveillance propose plusieurs conseils.

Repérer des signes de piratage

Ainsi, le site www.cybermalveillance.gouv.fr indique notamment comment repérer certains signes qui doivent attirer l’attention, car le piratage de compte n’est pas toujours facile à identifier. Il peut s’agir de l’impossibilité de se connecter avec ses identifiants, de messages envoyés sans l’intervention du propriétaire du compte, ou encore la présence d’un appareil inconnu dans l’historique de connexions. Le site propose ensuite plusieurs mesures qui peuvent facilement être mises en place, par exemple activer la double authentification ou encore lancer une vérification de sécurité.

Pour consulter la fiche : www.cybermalveillance.gouv.fr

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TPE-PME : leur digitalisation continue de progresser

Une perception positive du numérique

81 % des chefs d’entreprise déclarent que le numérique représente un bénéfice réel pour leur entreprise.

Comme chaque année, la Direction générale des entreprises et le Crédoc publient le Baromètre France Num. Un sondage au cours duquel près de 5 000 dirigeants d’entreprises de moins de 250 salariés sont interrogés sur la place des outils digitaux dans le fonctionnement de leur structure et, plus largement, sur leur perception du numérique.

Une meilleure communication avec les clients

À la question « le numérique représente-t-il un bénéfice réel pour votre entreprise ? », 81 % des chefs d’entreprise interrogés ont répondu par l’affirmative alors qu’ils n’étaient que 78 % à le faire en 2021 et 68 % en 2020.

Dans le détail, 78 % des dirigeants déclarent que les actions de digitalisation mises en œuvre leur ont permis de faciliter la communication avec leurs clients et avec leurs collaborateurs (59 %). 46 % des chefs d’entreprise déclarent, également, faire des économies grâce à cette transition digitale. On note, toutefois que ce taux ne cesse de baisser depuis la première enquête menée en 2020 (il était de 53 % à l’époque). Dans la même tendance, alors qu’ils étaient 41 % à déclarer que le numérique leur permettait de gagner de l’argent en 2020, ils ne sont plus que 37 % à l’affirmer en 2022.

À signaler également, parmi les freins à la digitalisation, que 19 % des dirigeants affirment que le numérique leur fait perdre « plus de temps qu’il ne leur en fait gagner ». Un taux qui a progressé de 7 points en un an et qui rappelle que la mise en place d’outils numériques, notamment ceux destinés à vendre en ligne ou à communiquer avec ses clients nécessitent la mobilisation de moyens humains, ce qui n’est pas toujours bien appréhendé, notamment dans les structures les plus petites.

À savoir : en moyenne, les chefs d’entreprise interrogés estiment que 15 % de leurs clients leur viennent d’internet. Un taux qui passe à 31 % dans le secteur de l’hôtellerie-restauration et à 9 % dans l’agriculture.

Les outils mis en place

68 % des entreprises ont développé un site internet et 26 % une solution de vente en ligne.

Assurer sa présence sur internet demeure un des objectifs majeurs de la digitalisation des TPE-PME. 86 % des dirigeants d’entreprises, soit 5 points de plus qu’en 2021, déclarent ainsi disposer d’outils permettant d’être visibles en ligne. Sans surprise, le plus utilisé reste le site internet (68 %) devant les réseaux sociaux (61 %). 62 % déclarent également avoir recours à des solutions de référencement gratuites pour remonter dans les classements des moteurs et 25 % à du référencement payant.

Pour ce qui est de vendre en ligne, 20 % le font via leur propre site marchand, 12 % par une solution de simple commande en ligne suivie d’un retrait en magasin, 9 % en passant par une place de marché et enfin, 8 % en ayant recours aux réseaux sociaux. On note que cette dernière solution s’affiche en retrait de 3 points sur un an.

Des solutions de gestion et de sécurité

La digitalisation ne se limite pas à assurer sa présence en ligne, elle couvre également le déploiement d’outils de gestion et de pilotage de l’entreprise. Leur adoption s’est d’ailleurs fortement accélérée en 2022. Ce sondage nous apprend que le niveau d’équipement en logiciel de comptabilité est passé de 58 % en 2021 à 73 % cette année. Une hausse comparable à celle qui concerne l’adoption des logiciels de facturation dont le taux d’équipement atteint désormais 70 % des entreprises consultées. Les outils de paiement en ligne sont, quant à eux, dorénavant présents dans 37 % des entreprises interrogées (+3 points).

On observe une même tendance haussière avec les logiciels de gestion de commande et de suivi des livraisons (23 %, +9 points), les solutions d’achat et de gestion des stocks (23 %, +6 points) et les intranet (25 %, +6 points). En revanche, si les messageries instantanées sont encore utilisées par plus d’une entreprise sur deux, leur taux d’adoption a reculé de 5 points en un an, passant de 56 % à 51 %.

À noter : s’il est resté stable entre 2020 et 2021, le taux d’équipement des entreprises en solution de cybersécurité a progressé de 5 points en un an. 81 % des entreprises interrogées disposent désormais d’une solution de ce type.

Quelles priorités pour les 2 prochaines années ?

S’équiper de matériel informatique plus récent, reste le projet le plus souvent cité par les chefs d’entreprise interrogés sur leurs priorités en matière de digitalisation.

À moyen terme, près d’un tiers (28 %) des dirigeants d’entreprise ayant des projets numériques déclarent, avant tout, souhaiter acquérir ou remplacer leur matériel informatique. Une priorité plus souvent mise en avant par les entreprises du secteur des services à la personne (38 %) que par celles de l’agroalimentaire (18 %). Suivent, le projet d’investir pour communiquer sur les réseaux sociaux (18 %), pour trouver des clients sur internet (13 %), pour disposer d’un site mieux référencé par les moteurs de recherche (12 %) et pour sécuriser ses données et son site (11 %).

Question budget, 31 % des entreprises prévoient de consacrer, hors recrutement, plus de 2 000 € à ces projets et 16 % plus de 5 000 €.

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